- Whouuuuuuuuuuuu ! Gueula le Lupus Affamus, c’est du mauvais nickel chinois ce couteau de m…….
A ce stade là les loups parlent
- Toi la végétarienne je te laisse la vie car tu viens de me soulager de cette P….. de dent, passes ton chemin et ne remet plus tes godillots à crampons sur mon territoire.
La pauvrette n’entendit pas ses conseils car elle venait de perde connaissance. Ce n’est bien plus tard à la nuit tombante qu’elle repris ses esprits
Bou Diou , je suis en vie, son premier réflexe fut de s’assurer que son sac de sanguins état encore là, on ne se refait pas !
De jour dans ce pays désolé abandonné de Dieu et même de Loth l’incestueux c’est déjà difficile de s’y retrouver mais de nuit, pécaïre. Fouillant dans on sac elle ne trouva pas sa lampe tempête restée dans sa chauminette. Elle erra quelques temps et bifurqua sur une mauvaise draille sans s’en apercevoir. Soudain une auréole de lumière se dessina autour de sa tête, malgré son athéisme avancé elle se signa croyant qu’elle était morte, mais non, Dieu est farceur quelquefois.
Avec ce petit lumignon elle trouva une entrée de grotte , un peu trop régulière à son goût, en plus il y avait des rails luisants preuve que c’était un tunnel de mine en exploitation car s’il y avait eu un TGV quelconque elle l’aurait su. S’armant de courage et d’une dose d’amphét elle entra dans ce tunnel prête à affronter n’importe quoi
- Je crains dégun Moâ , dit elle en se frappant sa poitrine non virile.
Tout doucement elle commença à s’enfoncer dans ce petit tunnel aux parois fluorescentes vertes, faut dire que le Dévoluy a été largement arrosé par le nuage de Tchernobyl. Un bruit l’inquiéta tout de même, se penchant et collant l’oreille aux rails elle compris dans sa cervelle embrumée que quelques chose arrivait.
Juste ciel des wagonnets déboulèrent poussés par un vers de terre géant monté sur roulettes lui aussi. S’esquichant contre la paroi elle esquiva ce curieux attelage ; La curiosité était à son comble, très opiniâtre elle continua pendant des kilomètres, aiguillé par cette curiosité si féminine et par les amphétamines.
Punaise que c’était long long long. Enfin un léger bruit de marteau piqueur se fit entendre, puis plus rien, étrange étrange. Ce fut des voix gutturales qui se firent entendre.
Punaise, ça c’est pas bon se dit elle, je dois être sous la Suisse maintenant, s’ils me chopent avec mes sanguins non dédouanés je vais finir avec Roman Polanski. Bon tant pis je risque le tout pour le tout !
Et là surprise elle tomba sur une salle où sept nain d’allure germanique cassaient la croûte en se faisant une petite fondue (mais non pas elle, on va pas tomber dans le porno)
Tout à coup apercevant la géante toujours auréolée ils se prosternèrent au nez dans la poussière
Et nous entrons dans la quatrième dimension des contes de Grimm
Vidéo à regarder jusqu'à la fin autrement vous ne comprendrez rien à mon histoire foireuse
https://youtu.be/StZcUAPRRac
Je vous conseille pour vos longues soirées ce gentil livre
Psychanalyse des contes de fées
Elle avait enfin trouvé son Nirvana, son Home, son Graal
- Oh la petite dame ! Réveillez vous vous allez attraper mal par terre, heureusement que je passait par là, autrement….
- Et M …… j’étais en train de faire un beau rêve casse C….., et vous êtes qui vous !
- ben, je suis Champsaurien et je viens du village de Chépaou, mais si vous voulez je m’en vais, mais sachez que l’on vous cherche partout dans votre village perdu
Martine se remis debout d’un coup et reparti illico dans la direction de son village remontée à bloc, mais avec la tête un peu flottante tout de même, mais le sentier vers sa chaumine lui apparaissait lumineux
En arrivant sur la place du village, il avait les pompiers assez agacés, les gendarmes en pétard (pas ceux qui se fument) et les villageois équipés chargés comme des Vert baudets, prêt à lancer l’assaut à la montagnes aux sanguins,
Avec une petite voix elle rassura rapidement tout le monde dépité et rentra dans sa maison où une flambée avait été allumée mais où deux cierges étaient disposés au pied de sont lit tout de même
Rageusement elle balaya ces funestes bouts de cire fumants et s’écroula toute habillée sur son chaud duvet
Elle ne fit qu’un bon, son sac de sanguins avait disparu ainsi que sont sacs avec son précieux carnet
Mais comme le dit le dicton :
« Mieux vaut du chiendent dans son jardin qu’un Champsaurien comme voisin »
Toutefois le lendemain matin elle trouva comme surprise deux très gros sacs de pignets devant sa porte, avec un petit mot
« Nous sommes en expédition punitive contre ce Champsaurien Co-Sanguins
Mais elle savait que tous voulaient s’approprier son fameux carnet
Quand à la pharmacienne Parisienne elle vendit dans l’année son fond de commerce car elle ne pouvait plus supporter l’odeur des champignons et cet enfer de dégénérés
Voila, j’aurais pu faire plus long et mieux mais je suis fatigué, même si mes neurones chauffent
Je ne sais pas comment vous pouvez lire de pareilles inepties sorties d’un cerveau malade.
Je vous conseille plutôt, master chef, Secret stories ou "qui veux épouser mon fils" "la fricassée de tyrex sur masterchef"