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Publié le 15 Mars 2022

 
 
La vraie forêt noire c'est pas comme ça, mais je suis sur que vous vous régalerez. Dans cette présentation c'est un gros  gâteau pour Anniversaire

Voici un gâteau pour un anniversaire. Une "forêt noire" mais aux poires , heu....sans fruits rouges . La réalisation est un peu longuette mais pas difficile du tout. Mieux vaut réaliser la génoise la veille afin de la couper plus facilement. Je laisse le moule à votre choix, le mien était un moule à manqué rectangulaire

Pour la génoise  elle-même, il ne faut pas grand-chose, pour la déco je laisse libre court à votre imagination

 

Attention : si vous désirez un gâteau aux angles bien droits, veuillez couper les bords de la génoise avec un grand couteau, arasez de même le couvercle du gâteau un fois la garniture intérieure de poire terminée, cela évitera la forme coussin de ce gâteaux et les moqueries des invités, et si vous voulez une vraie forêt noire il faudra mettre des fruits rouges ou des cerises au sirop par exemple

 
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  Forêt noire aux Poires , Sans Fruits Rouges

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Les Ustensiles

- 1  bon fouet électrique

- 1 fouet à main

- 2 beaux cul de poule ou des saladiers

- un maryse ou mieux une corne à débarrasser

- 1 spatule acier

- 1 moule à manqué ou autre bien chemisé

 

  Ingrédient pour la génoise

- 6 œufs entiers , (3 jaunes + 3 entiers) et 3 blancs montés en neige, si vous calculez bien il doit vous rester 3 blancs d'oeuf car seul trois sont montés en neige et les six jaunes sont à mélanger au sucre , cela lève toute ambiguïté

- 2 cuillères à soupe d’eau très très chaude (Très Très Important) cela sert à éviter de monter sa génoise sur un bain-marie

- un mélange de  100gr farine T 45 et 100gr fécule de pomme de terre, mais vous pouvez faire cela avec 200 grammes de T 45 simplement

- 200 grammes de sucre en poudre

- 1 sachet de sucre vanillé

- 1 pincée de sel pour monter les blancs en neige

- un peu de sucre glace

 

Réaliser la génoise

 

Préparez la génoise   la veille: (ou le matin pour l'après midi)

 

- Fouettez les 6 jaunes d'oeufs et le sucre + sucre vanillé et ajoutez 2 cuillères à soupe d'eau très très chaude en continuant de fouetter,Le mélange doit tripler de volume et blanchir. C'est important, vous pouvez incliner fortement votre cul de poule pour faire renter le maximum d'air

- Ajoutez alors le mélange farine +fécule + levure et continuez à fouettez pour avoir un bel appareil sans grumeau bien entendu

- Fouettez trois blancs d'oeufs en neige ferme avec  pincée de sel  dans un cul de poule à part évidemment

- Incorporez aux jaunes battus en soulevant la pâte avec une Maryse ou une spatule

- Versez à l'aide de la corne à débarrasser dans un moule à manquer de 28cm de diamètre 5 à 6 cm de hauteur

 

Mettez au four à 180° pendant 30min. Démoulez sur grille à la sortie du four et laissez

refroidir,

Coupez la en deux ou trois plateaux

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La Chantilly

 

- 3 briques de 20 Cl de crème  UHT  30% (2 peuvent suffirent, mais ma couverture en demandait beaucoup plus)

- 2 sachets de sucre vanillé ou 15 grammes de sucre vanillé maison

- 3 cuillères à soupe bombées de sucre glace

 

Mettre l'intégralité de la crème dans le bol de votre batteur + les deux sachets de sucre vanillé

Mélangez à vitesse modéré 1 minute puis ajoutez le sucre glace

Passez votre batteur à vitesse élevée et monter une chantilly bien ferme

Réservez au frais 

Pour la garniture et ma déco nulle je vous en parlerai après, c’est facile aussi vu que ce n'est que de la chantilly, mais de la chantilly normale sans fixateur ni aucun artifice

 

La garniture et faire le sirop pour imbiber le biscuit(génoise)

 

- 1 boite de poire au sirop

- 35 grammes de sucre semoule (2 cuillères à soupe)

- 20 cl d'alcool de poire (1 verre à liqueur) 

Réservez les poires de votre boite au frais, gardez le jus que vous mettrez dans une casserole sur feu modéré, avec vos 35 grammes de sucre, bien faire dissoudre le sucre . Laissez tiédir et ajoutez votre verre à liqueur d'alcool de poire. Ressortez vos poires  et faire deux déco pour le dessus du gâteau,

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coupez le reste des poires pour garnir l'intérieur

 

 Garnir et nappez

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Ajoutez un nappage chantilly sur les poires, ah oui, pourquoi des poires ? Because mon cellier se trouvant fort dégarni, et mon congel aussi je n'avais pas de fruits rouges, c'est la vie !

 

La crème Pâtissière (optionnelle) car une forêt noire se fait uniquement à la chantilly, il parait??????

 

Pour la crème pâtissière,  j’ai utilisé de la poudre impériale, ingrédient qui se trouve facilement dans les intermarché de toutes les régions, sauf sur l'île de Pâques ou les oeufs de Pâques font la loi. Ba voui je triche que voulez vous, j'ai vraiment la flemme de faire la crème pâtissière classique ICI

Sachez que l'on vend des génoise toute prêtes aussi

Les copeaux de chocolat (version amateur)

Mettre un plateau en fer (j'ai pas dis une plaque en fonte de 250 kg) dans le congel

faire fondre un tablette de chocolat noir au bain marie, ou mieux du chocolat de couverture mi en "condition" , oui c'est un terme technique , j'ai vu ça sur Youtube

Sortir votre plateau du congel et couler votre chocolat et étaler avec une spatule

puis faire comme ci-dessous ou comme vous pouvez

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Ensuite il vous reste la déco caramel et l'assemblage, l'estomac se charge du désassemblage et l'intestin du ré-assemblage en noir uniforme

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Remettre au frais afin que le sirop parfume le tout, servir très frais avec des pingouins qui remplacent la danse des canards

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Publié le 29 Octobre 2020

 

 

Non, cela n'est pas une recette genre, salade de museau, mais une histoire vraie. Bon d'accord cette histoire n'est pas très appétissante , mais en en voyez des pires à la TV , séries USA poubelles.

Attention bien que quelques anecdotes soient « amplifiées » cette histoire est vraie; oui même dans notre petit coin de menteurs ils se passent des choses réellement vraies !

 C'était un petit jour comme les autres en plein mois d'août, les gens étaient bien installés sous les ombrages de platanes séculaires bordant la rue centrale de ce petit village du haut var. C'était l'heure sacrée de l'apéro, du jaune comme l'on dit ici, toutefois cet apéro dominical avait un accent anglo-saxons, bé oui ici on partage notre soleil et les terrasses de bistrots, oh attention chacun dans son coin faut pas pousser, hein !

Si vous avez vu le film « les 4 saisons d'espigoule » vous pouvez deviner le genre de conversation que les autochtones avaient. L'ouverture de la chasse approchait , alors et bé c'était des histoires de « battues », de lièvres gros comme des chevreuils et des faisans lourds comme des canadairs. A coté les brûleurs de jeanne d'arc parlaient de ------------- et bé je ne sais pas de quoi

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Bref les cigales cigalaient et tout ce tableau , tout à fait dans l'idée que se font les gens d'en haut, prenait son allure de croisière en montant vers les indices d'alcoolémie réprimées par la loi. Le jeu était serré entre les buveurs d'anis et les boiveurs de thé,  rosé bien glacé, mais si vous connaissez le bon rosé qui escagasse les neurones. C'est fou ce qu'ils aiment ça, et c'est fou comme on aime pas leurs « nourritures » entre autre.

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Quelques rares marcheurs, sautaient de flaques d'ombre en flaques d'ombre pour aller bar en bar tout cela en titubant à pied au milieu de la rue. Si vous ne l'avez pas encore remarqué ici on ne marche pas sur les trottoirs, mais c'est trop long à vous expliquez, idem pour l'absence de parapluie en cas de pluie. On en reparlera un autre jour.

Tout à coup ces marcheurs titubants, s'écartèrent pour se réfugier sur les trottoirs. Mais non ce n'était un chasse neige Sérial Killer, en folie échappé du Champsaur qui voulait prendre des vacances sous notre soleil . C'était tout simplement un chien appelé  un charnigou par ici qui remontait la rue centrale avec un bras humain dans sa gueule. Un bras relativement assez « frais » *  dans un sale état , mais dans un état mangeable pour un charnigou  .............

Les premiers mots restèrent aux français

- Oh, putain con, c'est pas vrai, c'est quoi encore cette connerie ?

Les Anglois dégainèrent avec un simplement
- Shocking !

Donc ce chien remontait tranquillement  la rue principale sous les yeux des habitants et vacanciers, il tenait fermement dans sa gueule le membre supérieur complet d’un être humain qui, sauf miracle était déjà mort vu l’état de d…… de ce casse croûte pour chien charognard.

Comme vous le savez en Provence Profonde on tourne tout en dérision même les choses graves et chacun y allait de la sienne :

- je suis sûr que la montre marche encore

- c’est peut être le bras à Zé le maniaque qui taille toujours sa haie deux fois par semaine, ça devait arriver !

- et bé au moins celui la il n’aura plus de tendinite

- c’est pas un mec d’ici il n’est pas bronzé

- putain il doit puer de la gueule ce clebs, au fait à qui il est ?

- c’est peut être un mec qui jouait avec son chien et qui envoyé son bras à la place d'une branche

- mais t’é con !

- vé, va voir  s’il y a un tatouage……ensuqué

- Con, vas y toi, j’ai pas envie qu’il me morde et qu’il me file une triple castapianne crochue

 

D’office c’était un bras d’homme (pourquoi) alors que personne n’était allé voir de près ce bras. Attention on est pas des kamikazes ici et personne n’avait envie de se faire mordre ou de toucher ce bras, berk !

Des coups de fils étaient déjà partis vers la gendarmerie la plus proche. Le premier coup de téléphone passa sans doute pour un canular à la gendarmerie, le dixième éveilla le stationnaire .

Cela me fait penser au coup de fil que l’on avait reçu une fois à la caserne des pompiers

- Venez vite, ma femme vient de boire de l’essence que j’avais mise dans une bouteille de coca et elle n’arrête pas de crier en courant dans le jardin.

«  Fermez le portail elle s’arrêtera lorsqu’elle aura épuisé le carburant », nan, c’est pas vrai

 

La gendarmerie dépêcha rapidement (mot qui n’existe pas dans notre vocabulaire) une patrouille. Entre temps les plus courageux des citoyens suivait à distance ce chien qui faisait son petit bonhomme de chemin semant l’effroi parmi la population la plus sensible, les rideaux se baissèrent, les volets se closèrent….les estomacs se vidèrent......

Et je tombu par terre "faudrait que j'arrête la colle"

Le fourgon de gendarmerie arriva pour constater de visu que le chien n'était plus là. Bé, il avait fait du chemin pour aller bouffer en paix , pauvre bête. Les courageux citoyen avaient lâché prise ne se hasardant pas sous le cagnard de ce mois d'Août.

Les témoins ayant vus ce chien étant fort nombreux la gendarmerie pris donc l'affaire au sérieux, pestant toutefois d'avoir été dérangé pendant leur moment de « repos » (faut dire qu'ils y a des heures où seuls les estivants sortent, pas nous , pas nous)

Je vous passe tous les détails de la mise en route du processus pour une recherche de personne. En principe seules les forces de l'ordre participent à ces recherches, mais en raison du manque d'effectif et des vastes territoires boisés de notre département , les pompiers et parfois l'armée participent à ces recherches

 Bref, c'est ici je rentre en scène, et oui n'oubliez pas que j'ai été pompiers pendant 30 ans avec des genoux en état de bien fonctionner. Bon, l'appel nous tomba dessus comme le couperet émoussé d'une guillotine, ba oui, c'est mortel de marcher dans la colline au plus fort de la chaleur, en plus pour chercher un « mort ». Lâchant notre partie harassante de carte , car l'appel nous parvint 3 heures plus tard, le tirage au sort dans l'équipe de garde ce jour là désigna quelques ronchons et moi, grognon aussi.

Passons aussi sur la « sectorisation, le commandement, la radio etc,,,) mais pour me rendre encore plus grognon on avait hérité d'une zone en plein bois , tout cela après de longs débats

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C'est donc en trainant les pieds que nous participâmes à cette recherche pendant tout l'après midi. Heureusement que dans la trousse de survie des Sapeurs Pompiers il y a toujours des boules Quiès, autrement nous serions devenus sourds tant les cigales chantaient fort ce jour là. Je vous laisse le soins de trier le vrai du faux.

La forêt méditerranéenne en été n'est pas propice aux longues promenades bucoliques . Tout pique , tout accroche, il n'y a pas d'ombre (testez l'ombre des pins et vous comprendrez), pas un coin frais, et rien à cueillir, pas une habitations pour un peu se désaltérer, seules nos gourdes d'eau tiède nous tenaient compagnie. On pestait donc après tout, particulièrement après les hélicoptères qui nous narguaient du haut de leurs ventilateurs .

En plus le soleil allait vers le couchant et comme des couillons que nous sommes nous avions oublié les lampes. Donc sans attendre un ordre à la radio nous commençâmes à faire demi tour. Faut savoir que les pompiers même en meute , on peur de se perdre en forêt la nuit, et puis il faut que je vous dise que c'est très dangereux car les sangliers y sont féroces, mais le plus gros danger vient des airs, les écureuils volant sanguinaires peuvent vous trancher la carotide en moins de deux, et sans compter aussi sur les terribles lombrics gymnotes qui s'enroulent autour de vos chevilles et vous foudroient illico. Les bergers en ruts sont très dangereux aussi, mais bon c'est juste un mauvais moment à passer.......

 

Je devrais arrêter la mescaline , non !

 

Nous retournâmes donc par le même itinéraire, ba voui, c'est contre la logique mais pas la notre, car si on avait oublié les lampes en partant on avait pas oublié le minimum vital, boussole lunaire, lunettes solaires , miroir de détresse et surtout , un assortiment de pièges que nous avions « semés » le long de notre itinéraire « aller », dés fois que......un lièvre suicidaire aurait bien voulu améliorer nos rations type « militaire », vu qu'on ne peut plus rapiner les habitants depuis le nouveau règlement.

C'est sur le chemin du retour que la bonne nouvelle nous arriva par la radio, «  ils avaient trouvé un corps » voui, les portables n'existaient pas à cette époque.

Soulagement général, pieds et rangers compris, le pas s'accéléra afin de nous rendre au plus vite au PC « appelé Étoile de la mort par le commandant en chef Dartk Vador ».

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Toutefois nous fîmes un petit détour pour passer près du lieu de la découverte macabre, oui les pompiers sont curieux.

Je vous passe les détails mais il ne restait que les deux tiers du corps. "vrai"

La gendarmerie eut tôt fait de nous « expulser » de la scène of murder, y pas à dire ils sont reconnaissants « fas de ben à Bertrand t'é lou ren en caguant » "fait du bien à bertrand il te le rend en ...."

 Faut dire que l'on s'en foutait car le soir approchait et dare dare nous rentrâmes illico à la caserne les pièges vides et graffigné de partout . Ah oui, vous ne savez pas ce que veut dire graffigné, et bé allez vous promener en short dans notre forêt et vous comprendrez vite

 L'histoire ne s'arrête pas tout bêtement lors de la découverte du corps.

Le lendemain matin aux aurores après une nuit fumante, oui les pieds , les rangers , le mois d'août ça vous dit rien !

Donc aux aurores le téléphone sonna, le chef de corps me « priait » de me rendre à la caserne illico presto, pfffff !

Je me rendis Expresso au bar d'abord, oh il y avait pas le feu non !

A la caserne vu que le même personnel m'attendait je me doutait du coup foireux qui allait encore nous tomber dessus

 - Hier vous avez participé aux recherches et il me semble approprié d'envoyer la même équipe, vu que vous connaissez déjà la sectorisation.

- Quoi ? Ils ont trouvé le corps et .....

  • Putain laissez moi finir, oui ! La gendarmerie a encore besoin de renfort pour un complément de recherches

  • Faut pas pousser merde alors, on est là pour sauver des vies pas pour sauver des morts

  • Qui sait hein ! Avec un peu de Seccotine en recollant les morceaux....

Blabla....

Cette fois on parti bien équipé, anorak, raquettes et surtout arcs, flèches et sarbacanes contre les écureuils volants

Arrivée à l' Etoile de la mort, le commandant nous donna comme mission de retrouver la tête vu que le corps était en partie démembré, et blabla....que cela était nécessaire pour une identification plus rapide.

Tout le monde se disait : pourvu qu'elle soit vite retrouvée cette tête car il va taper un cagnard à ensuquer les vautours aujourd'hui.

Comme d'hab on écopa d'un autre secteur, faut pas chercher la logique dans tout ça.

Vu que le corps avait été trouvé en pleine colline près d'un petit cabanon abandonné, et bé, on se retrouva à nouveau en pleine colline pedibus gambus avec une envie de recherche proche du zéro absolu

La radio était restée muette tout le matin et nous fîmes une halte sous une figuière bienvenue. Si vous ne le savez pas il ne faut jamais manger des figues tièdes et boire de l'eau. Et bé on le fît , les recherches au niveau de notre équipe en furent ralenties par des haltes fréquentes. Depuis les habitant du village appellent cette Draille (sentier) le « sentier fuca », nous à la caserne on l'appela « No Immodium » ça sonne mieux en anglais non ?

Bref, l'après midi se passa tant bien que mal, plutôt mal vu qu'on avait pas pensé au papier toilette, oui se sont des détails comme ça qui gâche une vie et fait bidonner la caserne encore maintenant.

Enfin la radio nous donna l'ordre de rejoindre le PC pour de nouvelles instructions. Instructions mon cul oui ! On est resté planté près des véhicules sans aucun ordre du tout. La fronde grondait dans les rangs des pompiers surtout qu'un gros incendie avait démarré en plein après midi à l'autre bout du département. Alors la tête on s'en foutait royalement.

Dans notre équipe on serrait les fesses et on priait St Immodium afin qu'il vienne à notre secours.

Je ne sais pas qui à prononcé la phrase magique ce jour là, mais elle fait encore le tour du département.

  • Le chien a dû aller enterrer le bras quelque part, sous peu il va charrier la tête , il n'y a qu'à le pister.

 Ouf , merci Dieu des chiens fouisseurs, tout le monde fut libérer et on rentra dans nos pénates en passant par une Pharmacie.

 Le chien prit tout son temps car ce n'est que trois semaines plus tard qu'il repassa dans le village avec la tête dans sa gueule

 Bien , bien, bien plus tard nous apprîmes par les journaux que c'était un règlement de compte dans le milieu marseillais. Putain c'est pas beau de prendre le Var comme dépotoir !!!!

Bref je ne sais pas pourquoi il viennent finir leurs « affaires » dans le Var

Cela se passait dans le village de Bras dans le Var, l'histoire est vraie

Par contre ce qui l'est moins c'est que nous sommes surnommé "Immodium Company"

 

 

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