Publié le 2 Novembre 2018
Chacun porte au fond de lui comme un petit cimetière de ceux qu'il a aimés.
Romain Rolland (1866-1944)
J'étais parti pour vous faire une article complet sur la réalisation de la poitrine roulée banale mais bien bonne. Il y avait un article qui parlait déjà de cela sur mon blog mais il était incomplet en image? Donc bravant les frimas précoces , j'ai fendu la bise pour aller quérir un poitrine dans un village voisin. Bref, je ne sais si j'ai eu un accident de décompression, ba voui le village est plus haut que le notre de 100 mètres, mais j'ai eu quelques vertiges qui m'ont gâché le reste de la journée.
Voici donc quelques images qui viendront illustrer peut être la réalisation de la recette complète sous peu, En attendant elle "dort " sous le sel prête à ressortir dans quelques jours pour cholestrériser tout mon entourage
Oui c'est Gore, mais pas autant que cette sa.....té de fête d'Allo oui !
En attendant je vous propose de deviner ce qu'il y a dans cette vénérable marmite en fonte, il me faut le nom des ingrédients (attention piège) qu'il y a sous ce couvercle "ben mascla" bien mâchuré......., et....il n'y a rien à gagner
Les temps vont devenir encore dur pour vous petit peuple d'en bas, nous à la capitale c'est pas notre problème, ici "in Paris capital" on se casse juste la tête pour trouver comment piquer le pognon aux pauvres pour engraisser les riches, alors démerdés vous c'est pas notre problème et fabriquez vous des gazogène car l'essence ou l'aisance c'est pour les riches , "manants" écartez vous
Moralité on se chauffe au bois et bientôt on vivra dans l'étable comme au moyen âge , mais entre google et le guérisseur
Bon il y a quoi qui glougloute là dedans
C'est simplement de la couenne qui fond pour faire du gras pour les petits oiseaux qui seront bien heureux de picorer ça demain
Bon d'accord c'est pas très ragoûtant comme image
Mais c'est le brouet que bientôt nous mangerons, d'ailleurs j'ai commencé mon régime , truffes noire et sangliers.
La vie n'est tolérable qu'avec une marotte, un travail quelconque. Dès qu'on abandonne sa chimère, on meurt de tristesse.
Gustave Flaubert (1821-1880)